* Bienvenue dans mon Aspiland
CE QUE VOUS VOYEZ
CE QUE VOUS NE VOYEZ PAS
Evidemment, ce n’est pas toujours aussi radical…
Selon l’environnement dans lequel je suis, l’intensité sensorielle à laquelle je suis soumise, mon degré de fatigue, le nombre et la qualité « connue/inconnue » des rencontres personnelles, professionnelles ou sociales que je vais avoir, la possibilité de m’isoler ou pas, je peux passer d’un état « normal » à un état totalement catastrophique.
Les paramètres sont innombrables et les variations peuvent être très nombreuses d’un jour à l’autre, d’une heure à l’autre et même d’une minute à l’autre… C’est comme de marcher en permanence dans un champ de mines : on ne sait jamais ni où, ni quand, ni parfois pour quelle raison ça va exploser...
J’ai appris à masquer ces explosions derrière un sourire de façade. Vu de l’extérieur, cela semble n’être que de petites sautes d’humeur alors que je vis de véritables cataclysmes à l’intérieur. Personne ne se doute de rien…
Je fais celle qui va bien...
Ça commence à être dur dur...
Vous m'avez perdue...